7/40 - ET SI ON PARLAIT TRAITEMENTS ?

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Les tribunes
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Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.

[Source(s) liée(s) : 301]
Pour soigner, il faut disposer de tests (fiables), tester dès les premiers symptômes (et l’entourage proche), avoir les résultats très rapidement, pour tenter de traiter précocement, et laisser les médecins prescrire en toute responsabilité le traitement qui leur semble adapté à un instant T en fonction du profil du patient. Il faut faire confiance aux médecins, et notamment aux médecins de ville. Oliver Borraz, sociologue, fait remarquer que l’approche reste centrée sur l’hôpital et néglige tous les autres acteurs du système de soins (cliniques privées, médecine de ville, réseaux de soins…).
[Source(s) liée(s) : 324]
Le collectif “Laissons les prescrire” (www.stopcovid19.today) propose cette voie, a suivi de près le dossier de l’hydroxychloroquine (HCQ). Il demande une enquête complète et approfondie sur l’HCQ, produit une étude rétrospective sur celle-ci, établit 10 «indiscutables» sur la Covid-19. Même s’il n’existe aucun remède miracle, même si certains cas ne peuvent espérer une guérison, la Covid peut se soigner. Les médecins traitants peuvent en partie s’en occuper, sans pour autant devoir attendre le vaccin comme un messie, sans submerger les services de réanimation. Prendre en charge en amont, pour éviter l’hospitalisation. Simplement. La base…
[Source(s) liée(s) : 530]
Les traitements semblent être les grands oubliés, la dernière roue du carrosse, notamment des discours politiques, et surtout de l’espace médiatique grand public («mainstream») qui préfère parler de vaccin et d’hôpitaux à grands coups d’images «choc». La question n’est pas seulement «Faut-il ou non se faire vacciner ?» mais aussi (et surtout ?) «Comment pourrait-on soigner ?». Quand bien même un vaccin efficace et sans risque serait trouvé, combien de personnes seront décédées en attendant ? Une dynamique incroyable et une collaboration internationale n’auraient-elles pas du être mises en place autour des traitements ? Et puis même si on trouve un vaccin efficace, il y a peu de chances qu’il permette d’éradiquer totalement ce virus (s’il ne disparaît pas de lui-même), d’autant que c’est un virus qui mute. Il est donc temps d’envisager sérieusement d’autres pistes.
Pourquoi n’a-t-on pas fait plus confiance aux médecins de ville ? Pourquoi les a-t-on même écartés dès le début ? Même les arrêts de travail peuvent désormais (janvier 2021) être faits en ligne sans consultation ni diagnostic. Pourquoi n’a-t-on pas assez mis le paquet sur la recherche de traitements, nouveaux éventuellement et surtout anciens ? Pourquoi les médecins qui proposent des alternatives ou des protocoles de traitement à divers stades de la maladie sont-ils, au mieux ignorés, au pire sanctionnés ou victimes d’attaque diverses ? En janvier 2021, plusieurs hommes politiques réclament une information hebdomadaire sur les traitements. Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, témoigne de cette mise à l’écart des médecins généralistes.
[Source(s) liée(s) : 1005 + 1075]
Alors il y a bien sur l’hydroxychloroquine, sur laquelle nous reviendrons plus longuement plus loin dans ce document, qui semble avoir des effets positifs, si elle est correctement utilisée, en phase précoce de la maladie, afin de limiter les complications et les formes graves, ainsi que les hospitalisations. On peut également parler de l’azithromycine (seule ou associée à l’hydroxychloroquine et au zinc), dont l’utilisation, bien que non médiatisée, semble avoir été plus importante en 2020 qu’en 2019. Le médecin Jean-Jacques Erbstein en parlait déjà au printemps 2020. Le microbiologiste Claude Escarguel, pour qui «le traitement en phase précoce marche» lui confère également une efficacité.
[Source(s) liée(s) : 301 + 1006 + 495]
Le 10 décembre 2020, le Dr Pierre Kory témoigne devant le Sénat américain. Avec ses équipes, ils auraient identifié l’ivermectine, utilisée par plusieurs pays, comme étant un médicament qui serait efficace, voire très efficace contre la Covid-19 ! Ce que semble confirmer le site c19study.com. Plusieurs études sont en cours, certaines sont très encourageantes. Encore un médicament qui ne coûte rien et qui pourrait peut-être participer à la lutte contre la Covid-19. Début 2021, en France, l’ANSM (Agence nationale de la sûreté du médicament) doit se prononcer sur un RTU (règlement temporaire d’utilisation) de l’ivermectine comme traitement pour la Covid.
[Source(s) liée(s) : 904 + 1048 + 1103 + 536]
Le laboratoire Merck, qui a stoppé les recherches concernant un vaccin, se concentre désormais sur les traitements potentiels et travaille sur deux molécules, dont les premiers résultats semblent prometteurs : MK-7110 et le molnupiravir (MK-4482). Ce laboratoire est également un producteur d’ivermectine, sous le nom Stromectol. Il faudra surveiller qu’il ne favorise pas la mise en avant d’une nouvelle molécule vendue chère, au détriment de cette ivermectine moins rentabe, si toutes s’avéraient efficaces.
[Source(s) liée(s) : 1048]
On notera quelques tentatives, a priori douteuses, de discréditer l’ivermectine. Merck pas très clair, une étude discutable bourrée de conflits d’intérêts, une publication du Dr Kory (pourtant validée et «peer-rewiewed») carrément censurée, les conclusions d’une méta-analyse possiblement manipulées... par qui, pourquoi ? Encore un scandale en puissance ? Pourquoi la France et l’OMS annoncent plus d’un mois pour rendre un avis sur cette molécule sans danger et bon marché ? Le temps de «trouver» des éléments en sa défaveur quand tant semblent prometteurs ? Une enquête très sérieuse est à mener.
[Source(s) liée(s) : 1164 + 1151]
La vitamine D semble jouer un rôle important dans la protection contre le virus. Elle pourrait être un outil de prévention supplémentaire, permettant de renforcer l’immunité des individus, au même titre qu’une bonne alimentation, la pratique d’activités physiques, la limitation du stress, un bon sommeil etc. La lutte contre l’obésité semble importante également, celle-ci semblant être un facteur de risque très important.
[Source(s) liée(s) : 1007 + 1235 + 23]
Mais ce n’est pas tout. En janvier 2021, une vaste étude lancée en mars 2020 par l’Institut de cardiologie de Montréal annonce une « percée majeure » dans le traitement de la COVID-19. Ses résultats montrent que la colchicine, un anti-inflammatoire, est efficace pour traiter la maladie et prévenir des complications. La colchicine permettrait de traiter des patients avant leur admission à l’hôpital, permettant de limiter les formes graves de la maladie, et l’engorgement des hôpitaux (un des principaux critères utilisés pour justifier les confinements). Encore une fois, il s’agit de confier aux médecins le soin de prescrire un traitement précoce à leurs patients.
[Source(s) liée(s) : 1008]
A Madagascar, on prône des remèdes à base d’Artimisia, une piste à explorer ?
[Source(s) liée(s) : 1009]
Pendant qu’au Mexique on accorde de l’importance à des traitements simples et peu coûteux, et qu’on y défend la liberté d’expression, en Allemagne, on préfère privilégier l’essai d’un nouveau traitement potentiel utilisant des anticorps monoclonaux, bien plus rentable pour l’industrie, puisqu’il coûte 2000 euros la dose. En France, fin février 2021, le gouvernement autorise et va proposer l’utilisation de ce coûteux traitement (bamlanivimab, du laboratoire américain Eli Lilly), alors que les preuves de ses effets cliniques seraient très limitées et les essais toujours en cours. Un gouvernement qui semble bien tatillon, pour certaines pistes de traitements, dont il entraverait même parfois les possibilités de recherche, mais moins hésitant concernant des traitements rentables pour certains labos, comme dans le cas présent ou pour le remdesivir... De plus, ce traitement ne peut être administré qu’à l’hôpital, pas au niveau de la médecine de ville, encore une fois. Sans compter que certains (coordination Santé Libre) le décrivent comme mutagène possible pour la Covid-19 (c’est-à-dire pouvant générer des variants). Pourrait-il y avoir un lien avec le fait que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve, dont le mari, le fils et la fille (famille !) sont (très) proches de l’Elysée et/ou d’Emmanuel Macron ? Joker : le gendre est Aurélien Rousseau, le patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France. Il flotte comme une odeur étrange... encore un scandale potentiel ? Une enquête sérieuse à mener de toute évidence. En tous cas, des commandes seraient déjà passées... Aux Etats-Unis, en avril 2021, la Food and Drug Administration (FDA) a finalement révoqué l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du bamlanivimab.
[Source(s) liée(s) : 1010 + 1150 + 1255 + 1256]
En France, plusieurs collectifs de médecins, de soignants et de scientifiques, dont une députée et un sénateur, se sont fédérés, rassemblant plusieurs milliers de médecins, et ont lancé un appel le 09 janvier 2021, autour d’un projet commun nommé «Coordination Santé Libre». Ils annoncent plusieurs axes de travail : création d’un conseil scientifique indépendant, information sur les traitements possibles notamment en phase précoce, remise en avant de l’importance du rôle du médecin traitant, analyse des données réelles pour établir des statistiques plus fiables sur les décès attribués à la Covid, réflexion sur les vaccins, réinformation globale, étude sur ce qui s’est réellement passé et se passe dans les EHPAD, questionnement sur le fonctionnement de l’Ordre des médecins (qui ne traite pas tous les médecins de la même manière et reste étrangement silencieux sur certains sujets), interrogations concernant les syndicats de médecins... On pourra saluer une initiative qui dénote du discours global. A suivre sans aucun doute !
[Source(s) liée(s) : 1011]
Après une seconde conférence de presse de cette «Coordination Santé Libre», plusieurs journaux font paraître de manière simultanée un article presque similaire pour tenter de discréditer cette initiative, jouant de caricatures et d’assimilations à diverses mouvances, sans jamais s’intéresser au fond de l’action ni même s’être déplacés semble-t-il pour assister à la conférence de presse. Ils s’en prennent notamment à des pistes de traitement précoce proposées par le collectif, pistes qui s’adressent aux médecins bien sur, et non aux malades (depuis quand les malades créent eux-mêmes leurs protocoles thérapeutiques ?). Ces attaques seront rapidement condamnées par le collectif qui promet de porter plainte contre tout propos diffamatoire... L’Ordre des médecins, si soucieux semble-t-il des règles de déontologie ces derniers temps, se saisira-t-il de ce dossier ? A suivre assurément...
[Source(s) liée(s) : 1011]
En France, encore un nouvel espoir et une nouvelle piste de traitement... avec le Xav-19 du laboratoire pharmaceutique Xenothera, un médicament à base d’anticorps, qui s’apprête à être testé par 40 hôpitaux.
[Source(s) liée(s) : 1039]
En France toujours, à Lille, l’Institut Pasteur a mis au point un traitement qui permettrait d’éviter de développer une forme grave de la maladie. Celui-ci pourrait être testé sur l’homme dès février 2021. Le principe actif de ce médicament potentiel : le Clofoctol, que l’on retrouve dans un suppositoire appelé Octofene, indiqué dans le traitement des infections respiratoires bénignes. Coup de théâtre... Non seulement le gouvernement français n’investit pas d’urgence et massivement dans la recherche sur des traitements face à un virus et ses variants qu’il nous vend toujours comme une terrible menace mais pire, un comité du ministère de la Santé a décidé début février de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse, entravant les recherches. Ce comité demande étrangement à l’Institut Pasteur des garanties dont le gouvernement ne semble pas s’être trop soucié concernant les vaccins. La recherche sur les traitements est-elle volontairement empêchée ? Pourquoi ? Encore un scandale à ajouter à une liste qui s’allonge ?
[Source(s) liée(s) : 1057 + 262 + 1101]
En février 2021, une étude semble confirmer que le tocilizumab, un anti-inflammatoire, serait efficace pour traiter les cas graves de coronavirus. Ces résultats obtenus au Royaume-Uni montrent un impact positif sur la mortalité, la durée de séjour à l’hôpital et le besoin de respiration artificielle.
[Source(s) liée(s) : 1077]
En février 2021 également, le Pr Perronne et deux confrères font paraître dans le New England Journal of Medecine, revue de référence, un article concernant le dosage d’hydroxychloroquine utilisé dans l’essai Recovery au printemps 2020 et qui avait mené à l’arrêt de nombreux essais concernant cette molécule. Le dosage utilisé aurait pu fausser les conclusions. Il intervient également à Marseille pour défendre l’hydroxychloroquine et revenir sur ce dossier complexe1127.
[Source(s) liée(s) : 1076 + 1127]
En février 2021 toujours, le docteur Henry Joseph annonce que l’herbe à pik, issue de la pharmacopée traditionnelle guadeloupéenne, aurait la capacité de contrarier la reproduction des virus à ARN dans l’organisme.
[Source(s) liée(s) : 1090]
Même le Pr Eric Caumes, avoue dans un entretien du 13 février 2021 : «Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. Cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Il aurait fallu aussi s’intéresser aux traitements».
[Source(s) liée(s) : 1091]

On prend une grande respiration, ce n’est pas terminé…

Au Japon, le 09 février 2021, le président de l’Association médicale de Tokyo, Haruo Ozaki, recommande l’utilisation d’urgence de médicaments, notamment l’ivermectine et la dexaméthasone, pour prévenir l’aggravation. Des traitements que les médecins de famille pourraient prescrire. Au Brésil, un fabricant brésilien d’ivermectine défend l’utilisation du médicament contre la Covid-19. Le 15 février, c’est l’OMS qui étudie l’ivermectine, et rendra ses conclusions dans 4 à 6 semaines. Espérons qu’elles soient honnêtes et objectives... Le 25 février 2021, le deuxième plus grand quotidien anglais, le Dailymail, titre : «Un médicament utilisé pour traiter les poux et la gale pourrait réduire les décès de Covid jusqu’à 75%, selon la recherche». Cette étude basée sur 30 essais, en faveur d’une molécule peu onéreuse, risque de ne pas plaire à tout le monde... Un des co-auteurs de l’étude affirme : «Les données sont accablantes - nous sommes dans une pandémie, et c’est un moyen incroyablement efficace de la combattre». Le Dr Pierre Kory en parlait déjà début décembre... La Tchéquie, la Slovaquie, l’Afrique du Sud tentent l’ivermectine et la Bulgarie semble détenir des preuves supplémentaires de l’efficacité de cette molécule après 1 an d’études. Olivier Véran quant à lui préfère quasiment insulter ceux qui osent parlent de traitement à l’Assemblée Nationale, pendant que Jean Castex se gausse... Ce dernier n’a pas peut-être toujours pas d’élément en main au sujet des traitements, il va falloir le renseigner...
[Source(s) liée(s) : 1100 + 1140 + 904 + 1240 + 1069 + 438]
En France, l’ivermectine ne semble donc pas intéresser le gouvernement. Il s’agit pourtant d’un médicament qui paraît très prometteur. Au vu des données constatées, dès qu’un traitement potentiel est décelé, nos représentants politiques ne devraient-ils pas très rapidement constituer une équipe dédiée, étudier les résultats, éplucher la littérature, lancer des essais... ? Des gens meurent ou pas ? Je pensais qu’on était en guerre, qu’on était prêt à détruire notre pays au nom de la lutte contre un virus. Alors ? Il aura fallu deux requêtes et une audience au Conseil d’Etat le 25 janvier 2021 pour que l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) daigne s’intéresser à cette molécule. Et encore, elle traine des pieds... Pourquoi tant de résistance et de lenteur ? Méandres administratifs ? Incompétence ? Autre chose à nous vendre ? Pourquoi ?
[Source(s) liée(s) : 1151 + 1150]
L’ivermectine est au coeur d’un bras de fer sur lequel il faudra faire toute la lumière. Alors que les témoignages s’accumulent en faveur de cette molécule... Fin mars 2021, tout comme l’Agence européenne des médicaments ou l’OMS qui viennent de recommander de ne pas utiliser l’ivermectine sauf dans le cadre d’essais cliniques, la France décide de refuser d’autoriser pour le moment l’ivermectine pour traiter la Covid, «faute de données suffisantes». Elle semble beaucoup moins regardante concernant le bamlanivimab ou les vaccins. Si l’ANSM estime que de plus larges études cliniques sont nécessaires, pourtant ne les lance-t-elle pas de toute urgence ? L’objectif de la France n’est-elle pas d’éviter des morts à tout prix ? L’Association BonSens ne compte pas en rester là, demande le retrait de la méta-analyse du Dr Andrew Hill et participe à une action en justice pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence de l’ivermectine dans le traitement des patients atteints de Covid-19 en France. La députée Martine Wonner quant à elle met en demeure Jérôme Salomon, le Directeur général de la Santé, au sujet du bénéfice de certains médicaments dans le cadre de traitements précoces chez les sujets malades de la Covid-19, comme celui de l’Ivermectine.
[Source(s) liée(s) : 1204]
En France... un nouveau spray nasal serait capable d’éliminer 99 % du Covid-19, et disponible dans les pharmacies dès mars 2021. Ici il ne s’agit pas d’un traitement curatif, mais d’un geste préventif, permettant d’empêcher ou de limiter la propagation du virus chez un individu. La commercialisation de ce spray est finalement suspendue sur décision de l’Agence du médicament (ANSM), faute d’avoir reçu les données démontrant sa performance et sa sécurité, bien que le fabricant «assure l’inactivation du virus Sars-Cov-2 à plus de 99 %». Il semble qu’on soit plus pointilleux sur les sprays que sur les vaccins...
[Source(s) liée(s) : 1104 + 1134]
Pendant ce temps, Israël, la Nouvelle-Zélande, et possiblement les britanniques et les canadiens, mettent sur le marché un spray nasal du même type. Pourquoi pas chez nous ?
[Source(s) liée(s) : 1134]
En mars 2021, le laboratoire Angany dans l’Eure (27) annonce des avancées importantes dans le développement d’un traitement à base d’anticorps monoclonaux produit par des plantes, qui réduirait drastiquement le risque d’hospitalisation et de décès.
[Source(s) liée(s) : 1207]
Certains purificateurs d’air pourraient éliminer une grande partie du virus autour d’eux et pourraient participer activement à en limiter la propagation. Mais là encore, le gouvernement ne semble pas se précipiter pour étudier cette piste.
[Source(s) liée(s) : 1175]
Pourquoi les pistes potentielles sont-elles écartées ? Pourquoi des blocages plutôt que des investigations rapides ? Pourquoi l’Etat a-t-il confisqué la médecine aux médecins ? Pourquoi semble-t-il avoir décidé qu’il n’y aurait pas de traitement de la Covid en dehors des centres hospitaliers, bloquant de nombreuses expérimentations ? Toutes les pistes que l’on vient de lister sont-elles toutes absolument irrecevables ?
Sans oublier la surveillance de la saturation du sang en oxygène à la maison, très facile à faire avec un oxymètre (20 euros), pour les personnes qui ont des symptômes et qu’on assigne à résidence en attendant que leur cas s’aggrave, ou l’oxygénothérapie à domicile pour certains patients...
Sans oublier également les auto-tests, répandus dans de nombreux pays, mais que la France et Olivier Véran semblent vouloir ne pas mettre en place, ou en tous cas de manière tardive (à partir du 12 avril 2021), comme l’évoquent Martin Blachier ou Géraldine Woessner, journaliste au Point. Encore un blocage bien difficile à comprendre.
[Source(s) liée(s) : 1206]
La valse des pistes continue... Le 17 avril 2021, le Dr Nicolas Hoertel, psychiatre et enseignant-chercheur à l’APHP, déclare que des molécules bien connues, et utilisées par certains anti-dépresseurs, pourraient réduire la mortalité et le risque d’intubation de 40% (et même jusqu’à 70%), et pourraient être utilisées à titre préventif ou curatif très facilement. Ces résultats feraient parler d’eux en Allemagne et jusqu’aux Etats-Unis. En avez-vous entendu parler en France ? Là encore, pourquoi le gouvernement n’engage pas des recherches et des essais de toute urgence ? J’imagine qu’ils sont trop occupés à mettre en place leur abject pass sanitaire. Il semble plus important de limiter les libertés que de tenter de soigner ou de doter les hôpitaux de moyens décents.
[Source(s) liée(s) : 1239]
En avril 2021, l’Institut Pasteur démontre que les anticorps sont capables de neutraliser et même de tuer une cellule infectée par le coronavirus.
[Source(s) liée(s) : 1252]
Martin Zizi, ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense belge, déplore qu’on ait supprimé les médecins de première ligne, ceux qui connaissent bien leurs patients, ceux qui soignent. Il parle également de l’amantadine, un antiviral, qui pourrait avoir des effets sur le coronavirus.
[Source(s) liée(s) : 1270]
Cela fait tout de même beaucoup de données qui semblent invalider le fait qu’on ne pourrait rien faire côté «traitements» et prévention. Aucun produit miracle, aucune baguette magique, mais plusieurs moyens de limiter les dégâts semble-t-il. Evidemment, s’il s’avérait que des traitements sont possibles, cela remettrait en cause certaines mesures et les très lourdes conséquences qu’elles ont engendrées à tous niveaux. Cela remettrait en cause l’impératif vaccinal et les atrocités de passeport sanitaire associé qu’on tente de nous vendre. Cela remettrait en cause la mortalité de la Covid-19, puisque de nombreuses personnes auraient pu être sauvées. Cela récompenserait certains médecins et en condamnerait d’autres. On comprendra alors (mais on ne pourra jamais excuser) que ceux qui prennent, orientent, légitiment ou cautionnent les décisions, peinent à reconnaître l’existence de ces traitements potentiels. Les responsabilités seraient lourdes, très lourdes. Est-on à l’aube d’un nouveau Nuremberg ? Le docteur Peter McCullough a déjà son idée. Il estime que «les historiens jugeront très sévèrement» les autorités sanitaires, et tente d’expliquer pourquoi les traitements ont été mis de côté. Très intéressant.
[Source(s) liée(s) : 1171]
Est-il impossible pour certaines personnes de revenir en arrière sur des décisions initiales, qui consistaient à ne pas tenir comptes de traitements potentiels, en raison d’un «effet de cliquet» décrit par Alain Bonnafous (professeur honoraire de sciences économiques et chercheur) ?
[Source(s) liée(s) : 1081]
Est-ce parce qu’on aurait légitimé l’usage de vaccins expérimentaux en utilisant l’argument qu’aucun traitement n’existerait (les AMM conditionnelles n’étant délivrées qu’en cas de «besoins médicaux non satisfaits»), qu’on refuserait aujourd’hui d’en reconnaître l’existence ? Et si c’est le cas, pourquoi alors préférer un vaccin expérimental et peu sécurisé (développement accéléré, phases de tests inachevées...) à des molécules ancestrales et peu coûteuses ? Est-ce parce que les «Big Pharma» influencent les décisionnaires et les influenceurs pour écarter des solutions peu rentables pour elles, comme le pense Xavier Bazin ? Du coup des théories complotistes en profitent pour venir frapper aux portes de mon cerveau... non, non et non, je les refuse, encore pour le moment...
[Source(s) liée(s) : 1224 + 475 + 1250]
Dans tous les cas, certains médecins généralistes digèrent mal le fait de ne pas avoir été associés à la lutte contre le coronavirus et reprochent en février 2021 au ministre de la Santé, Olivier Véran, son arrogance et son manque de considération pour la médecine générale et pour l’exercice libéral. Quatre médecins belges estiment, lors d’une interview donnée à Kairos, que la réalité de terrain est bien loin de celle que nous présentent depuis un an les médias dominants. Pour eux, il faut soigner et ne pas simplement laisser les gens chez eux avec du doliprane. Ils dénoncent le fait que les responsables politiques sont hermétiques à toute solution et entravent la liberté de prescription, sans doute pour la première fois de l’Histoire. Très bel échange humain sur divers thèmes. Julie, infirmière et historienne mastérante en sciences de la Santé publique, tient le même discours lors d’une interview accordée à BAM.
[Source(s) liée(s) : 1129 + 1241]
«L’Histoire se souviendra d’une époque où les gens étaient fous, où au lieu de soigner ils ont obligé des populations à rester à la maison. C’est un des phénomènes les plus étranges qui se soit passé dans l’Histoire moderne», comme le dit Didier Raoult. J’ajouterai... Pourquoi s’est-on acharné à discréditer toute piste de traitement ? Pourquoi n’a-t-on pas déployé des moyens gigantesques pour trouver ou au moins rechercher des traitements ? Pourquoi l’a-t-on fait pour des vaccins ? Pourquoi a-t-on préféré injecter un vaccin inconnu plutôt qu’approfondir les recherches sur des molécules qu’on connait ? Pourquoi a-t-on voulu à tout prix vacciner tout le monde, en menaçant même les non-vaccinés d’être privés de vie sociale (projets abjects de passeports sanitaires) ? Pourquoi a-t-on préféré empêcher les gens de vivre et les enfermer, plutôt que tout faire pour les soigner ? Personne n’a dit qu’il existait un remède miracle, contrairement à ce qu’aiment écrire certains «journalistes», mais il est grand temps de limiter la casse en utilisant toutes les pistes de traitements possibles.
[Source(s) liée(s) : 1016]

Rendez-vous demain pour la suite…

 

Par Sébastien . Citoyen . Humain


Retrouvez TOUS les épisodes ici :
UNE AUTRE VISION DE LA COVID

Une autre vision de la Covid . Version initiale le 09 décembre 2020. Mis à jour et augmenté régulièrement depuis, et jusqu’à ce jour.

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Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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