Le groupe politique Belge Vivant Ostbelgien, représentée par ses membres Michael Balter, Diana Stiel et Alain Mertesse, s'associe à la plainte pénale initiée par le lobbyiste belge Frédéric Baldan contre Ursula von der Leyen.
Monsieur Baldan accuse la présidente de la Commission européenne de s'être approprié le rôle du gouvernement fédéral belge en négociant directement et de manière confidentielle avec le PDG de Pfizer via SMS. Les accusations comprennent « l’usurpation de fonctions et de titre », « la destruction de documents publics » ainsi que « la prise illégale d’intérêts et la corruption »[1].
Vivant Ostbelgien avait déjà soumis une proposition de résolution au Parlement de la Communauté germanophone, exigeant la divulgation de tous les contrats et communications entre l'UE et Pfizer.
D'autres personnalités politiques, dont Florian Philippot, ont également rejoint la plainte.
BAM assistera à l’audience le 17 mai 2024 au tribunal de Liège[2].

Vice‑Premier ministre, ministre de la Santé et figure emblématique du SP redécoré “Vooruit”, Frank Vandenbroucke multiplie les casseroles. Dernière affaire en date: Medista[1][2]. Véritable polar où l’on croise des agents du Mossad ou Deloitte Consulting, Frank Vandenbroucke y joue son rôle de prédilection: l’opacité et la dissimulation. Malgré la gravité des faits, les principaux médias belges restent muets. Emeric s'interroge sur ce silence.

Le programme Eduscol incite les enseignants français à animer des activités de “sensibilisation” à la vaccination. Le Syndicat Liberté Santé a examiné le kit pédagogique et alerte: l’école est‑elle instrumentalisée pour inculquer aux élèves la propagande de l’OMS et des lobbys pharmaceutiques?

Faisant suite à sa lettre ouverte[1], le Dr Colignon a déposé plainte contre la RTBF auprès du Conseil de Déontologie Journalistique. Cette plainte conteste la couverture par la RTBF d'une étude liant l'hydroxychloroquine à 17 000 décès durant la première vague de Covid‑19.
Colignon critique la présentation de l'étude par la RTBF, pointant des incohérences et des extrapolations qu'il juge fallacieuses, et met en lumière l'importance d'une communication éthique sur des sujets sensibles.

Alors que de nombreux parents et spécialistes de l'enfance expriment leurs inquiétudes sur le nouveau programme EVRAS, la RTBF s'est fendue d'un article accusatoire[1] aux relents conspirationnistes.
L'équipe de “Décrypte” n'a pas hésité à user d'amalgames douteux, dépeignant des citoyens comme une bande organisée digne des tueurs du Brabant Wallons… L’objectif: pourrir le débat pour étouffer toute contradiction.
Cité dans l’article, le Dr Goaréguer, psychiatre de formation, a sollicité un droit de réponse. La RTBF a décliné, se réfugiant derrière un vide juridique, le débat nuancé et les principes journalistiques ne faisant visiblement pas le poids...
BAM! présente la réponse du Dr Goaréguer, ainsi que le refus de la RTBF exprimé par son avocat.

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