Robert Kennedy Jr vient d'être confirmé à la tête du département américain de la santé (HHS). Son arrivée avec des équipiers de poids, le Pr Jay Bhattacharya au NIH, le Dr Dave Weldon au CDC, le Dr Marty Makary à la FDA et le Dr Aseem Malhotra comme conseiller du président Trump, laisse espérer une révolution dans la politique de santé américaine. Mais ces cinq rebelles lors de la “crise sanitaire”, défenseurs de la science et des libertés, seront‑ils à la hauteur de leurs promesses? Feront‑ils éclater la vérité sur l’origine du coronavirus, le hold‑up de Big Pharma et le désastre, présent et à venir, des injections covid? Auront‑ils le pouvoir de s’attaquer aux responsables et à la corruption du système? On veut le croire, mais on les jugera sur leurs actes. Galerie de portraits de Kennedy et ses hommes, placés aux postes clés.
L’Ordre Universel des Praticiens de la Santé (OUPS) tient à réaffirmer sa mission essentielle : replacer l’éthique au cœur du soin et défendre une médecine intègre, libre de toute influence extérieure. À travers ce communiqué, l’OUPS souhaite clarifier son positionnement, rappeler ses valeurs fondamentales et corriger certaines confusions relayées entre autres par BAM.
Dans une tribune au journal Le Monde[1], l’ancienne ministre française de la santé, Agnès Buzyn, s’inquiète du retour de Trump aux affaires. Au nom de la Science et pour la démocratie. Ses motifs de craindre le casting de Trump sont‑ils aussi nobles qu’elle le proclame ?