Robert Kennedy Jr vient d'être confirmé à la tête du département américain de la santé (HHS). Son arrivée avec des équipiers de poids, le Pr Jay Bhattacharya au NIH, le Dr Dave Weldon au CDC, le Dr Marty Makary à la FDA et le Dr Aseem Malhotra comme conseiller du président Trump, laisse espérer une révolution dans la politique de santé américaine. Mais ces cinq rebelles lors de la “crise sanitaire”, défenseurs de la science et des libertés, seront‑ils à la hauteur de leurs promesses? Feront‑ils éclater la vérité sur l’origine du coronavirus, le hold‑up de Big Pharma et le désastre, présent et à venir, des injections covid? Auront‑ils le pouvoir de s’attaquer aux responsables et à la corruption du système? On veut le croire, mais on les jugera sur leurs actes. Galerie de portraits de Kennedy et ses hommes, placés aux postes clés.
Réaffirmer l’éthique et la vérité en santé
ExpiréL’Ordre Universel des Praticiens de la Santé (OUPS) tient à réaffirmer sa mission essentielle : replacer l’éthique au cœur du soin et défendre une médecine intègre, libre de toute influence extérieure. À travers ce communiqué, l’OUPS souhaite clarifier son positionnement, rappeler ses valeurs fondamentales et corriger certaines confusions relayées entre autres par BAM.
Le Monde d’Agnès Buzyn
ExpiréDans une tribune au journal Le Monde[1], l’ancienne ministre française de la santé, Agnès Buzyn, s’inquiète du retour de Trump aux affaires. Au nom de la Science et pour la démocratie. Ses motifs de craindre le casting de Trump sont‑ils aussi nobles qu’elle le proclame ?
Les “complotistes” avaient encore raison !
ExpiréPublié le 4 décembre 2024, le rapport final de la Commission spéciale sur la pandémie de coronavirus de la Chambre des représentants des États‑Unis, dénonce certains aspects de la gestion de la pandémie de COVID‑19 et de la campagne de vaccination.
263 études confirment la toxicité de Spike
ExpiréNous avions déjà pointé du doigt les nombreuses pathologies liées aux vaccins COVID[1]. Désormais, 263 études revues par les pairs confirment que la protéine spike, composant clé des vaccins à ARNm, agit comme un pathogène indépendant, capable de provoquer des dysfonctionnements cellulaires et systémiques graves. Cette situation est d’autant plus préoccupante que la production de spike lors des injections est plus intense chez les jeunes, et que la quantité produite varie considérablement d’un individu à l’autre, rendant le vaccin encore plus toxique… ou encore moins efficace.
Le président de la commission vaccination suisse critique la gestion COVID
ExpiréLe professeur Christoph Berger, président de la Commission fédérale pour les vaccinations en Suisse et expert en maladies infectieuses, connu pour avoir soutenu activement la campagne de vaccination dans les médias, adopte désormais une approche critique envers les mesures prises durant la crise.