Expiré

Les masques, une hypothèse folle…

Quand on sait que les masques sont globalement mal portés, et qu’ils peuvent potentiellement devenir contre-productifs, peut-on s’autoriser à tenter une lecture inverse ?
Peut-on émettre l’hypothèse d’une inversion de causalité. Je n’affirme rien du tout, c’est une simple réflexion, sans doute totalement absurde et délirante… Mais est-ce recevable ? Cela serait-il scientifiquement possible ?

Expiré

Et si on se trompait…

Désarmé par son manque d’action et d’audace, le gouvernement relance à l’automne un nouveau confinement… 2e round. L’ascenseur était bloqué, attention, on va couper le câble…
On notera au passage que pour justifier le nouveau confinement, Emmanuel Macron avance, lors de son allocution du 28 octobre, un potentiel de 400 000 morts à venir ! Les prédictions les plus folles (à moins que ce ne soit une erreur de prompteur) refont surface, alors qu’aucun pays sur la planète n’a connu, même au plus fort de l’épidémie, un tel niveau de mortalité, et alors que nous même n’avons «même pas» totalisé 10 % de ce chiffre au pic du printemps… On l’a vu, ces prévisions sont totalement dénuées de sens, mais on continue à les annoncer et à s’en servir comme base de décisions graves… Pourquoi ?

Expiré

Les tests PCR, un peu trop sensibles ?

Si la courbe des cas s’envole facilement, ce serait peut-être en partie lié à un autre facteur, la manière dont sont analysés les tests. Ces tests utilisent une méthode de détection directe du génome. Ils cherchent à détecter des morceaux d’ARN (un dérivé de l’ADN en quelque sorte) des agents infectieux ou parasitaires. Ils permettent de détecter de très faibles quantités d’agents pathogènes (qui peuvent causer une maladie) dans des prélèvements. L’action principale du test est répétée plusieurs fois, on parle de «cycles», devenant plus «sensibles» à la présence de fragment du virus, au fur et à mesure que les cycles s’enchainent.

Expiré

Nous avons reçu, par mail, de nombreux témoignages décrivant les arrestations de citoyens venus manifester au Cinquantenaire le 23 janvier dernier.

Certains ont été embarqués, privés de liberté pendant 5 heures, puis libérés, sans avoir signé le moindre papier administratif.
Nous avons décidé d'en publier un, sous forme de tribune anonyme.

Expiré

J’entends en ce moment – et ce n’est pas nouveau – beaucoup de gens demander, à juste titre, « mais où est passée la gauche, dans la crise actuelle ? Pourquoi est-elle inaudible face au déferlement totalitaire et antisocial ? Qu’en est-il de son héritage contestataire vis-à-vis du pouvoir de l’État, des institutions et des intérêts économiques ? ». Car le problème est bien là : cette crise sert, en fait, à la quatrième révolution industrielle orchestrée en faveur des multinationales et des intérêts privés, qui se servent de l’État pour imposer leur régime, ce qui est la définition même du fascisme. En temps normal, cela devrait être l’occasion rêvée de la gauche antifasciste de mener à la fois son combat anticapitaliste et défendre son héritage antifasciste libertaire face à un État tentaculaire.

Plus d'articles...

.system-unpublished, tr.system-unpublished { background: #fff!important; border-top: 4px solid #fff!important; border-bottom: 4px solid #fff!important; } .bg-warning { background-color: #fcf8e3; display: none!important; }