La presse traditionnelle, le Figaro en l'occurrence, monte pour la première fois au créneau et évoque les indemnisations dérisoires perçues par les victimes des effets indésirables du vaccin Covid‑19.
Ils ne sont ni antivax ni complotistes, mais leurs vies ont basculé après une injection. Victimes d'effets indésirables graves, ils dénoncent un système qui refuse de reconnaître la causalité, malgré des diagnostics accablants.
Entre myocardites, maladies neurodégénératives ou handicaps à vie, leurs témoignages font vaciller le récit officiel.
Même Le Figaro brise le silence, révélant des erreurs médicales, des indemnisations dérisoires et une omerta qui, selon eux, protège l'industrie pharmaceutique au détriment des victimes.
Situation identique à celle dénoncée dans notre article du 31 octobre 2024 : Vaccins covid : Le sort des victimes choque les britanniques
Témoins d’une bataille entre science et reconnaissance, derrière des statistiques rassurantes, des victimes lourdement impactées par des effets indésirables dévoilent une errance médicale et juridique où se mêlent incompréhension et indignation.
Voici 2 extraits parmi tant d’autres témoignages :
« Les yeux fixés sur mon rapport, sans m’accorder un seul regard, ils m’ont affirmé que le vaccin n’y était pour rien et que ça devait m’arriver »
« Je suis envoyé aux urgences à Royan. Là, quand ils voient mon état, c’est la panique. Mon taux de troponine était à 1000 et quelques (la troponine, produite par le muscle cardiaque, est libérée dans le sang lorsque le cœur est endommagé. »
« On se heurte à un mur » : ces grands perdants du vaccin Covid‑19 qui luttent pour la reconnaissance d’effets indésirables
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« Au service cardiologie de Bordeaux, où il est transféré, Franck est diagnostiqué d’une myocardite à cellule géante « suite au vaccin Moderna. »
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« Dans les témoignages que Le Figaro a recueillis, tous se défendent d’être antivax. Ils disent avoir reçu l’injection de bon cœur, et ils ne remettent pas en cause son utilité. Mais certains ont tout perdu. »
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« C’est le cas de Sébastien Bettenent, 39 ans. Cet agent hospitalier vient d’obtenir la reconnaissance par l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux (Oniam) de sa myocardite comme effet indésirable de la deuxième dose Pfizer. »
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« Dans ce contexte, l’indemnisation de 80.000 euros proposée par l’Oniam lui semble dérisoire, même s’il est soulagé que la causalité du vaccin soit reconnue. Son avocat indique au Figaro son intention de faire appel. “Le jour de l’expertise, j’avais l’impression d’être à un jugement, témoigne Sébastien. Le médecin remettait tout en cause, c’était très dur.” »
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« Ou ils épluchent les moindres détails de la vie du patient, ses antécédents familiaux… pour dénicher une autre cause. Si vous n’êtes pas épaulé dans ce combat, vous n’avez aucune chance. »
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« Éric Lanzarone déplore également le processus de validation par des experts nommés par l’Oniam, souvent d’une “grande désinvolture » selon ses clients. »
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« Face à eux, le médecin-chef et l’expert en cardiologie se montrent “très secs, presque agressifs », affirme‑t-il.” ».
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« Les victimes, elles, disent avoir le sentiment d’une « immense omerta ». « Clairement, des médecins ne veulent pas ou ne peuvent pas croire pas qu’il y ait autant d’effets indésirables au vaccin et cela ralentit les diagnostics », affirme Mathieu Dubois, 29 ans, fondateur de l’association AAVIC TEAM, … »
[…]
« La cofondatrice d’AAVIC TEAM, Mélanie Maupas, 35 ans est atteinte de la maladie de Charcot dont les premiers symptômes sont apparus le lendemain du vaccin. Elle s’est entendue dire de plusieurs praticiens pendant de longs mois que c’était “sûrement psychologique”. »
Dans les extraits cités ci-dessus, nous avons conservé le texte original du Figaro, malgré les quelques erreurs.
Lisez l’article dans son intégralité ici :
Le chapô est de BAM!
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