Alors que la gestion de la crise de la COVID et de la campagne de vaccination fait l’objet de vives critiques, cinq pays européens ont décidé d’expérimenter un nouveau pass vaccinal dans le cadre de l’EUVABECO.
L’EUVABECO est un programme émanant de la Commission européenne, dont le but assumé est d’intensifier et de contrôler la vaccination dans l’Union européenne.
La Belgique, toujours sensible aux intérêts de l’industrie pharmaceutique, fait partie des cinq volontaires.
Dans cette tribune, Maître Isée nous alerte sur ce que nous risquons et, surtout, nous indique comment nous y opposer.
Écoutez‑moi bien, mes petits lapins, ça vous pend au nez, ce collier de ferraille, cette chaîne numérique qu’ils veulent vous passer autour du cou ! Oui, vous l’aurez tous, ce joli QR code, planté en plein front, comme un coup de tampon à l’entrée d’un abattoir ! Qu’ils nous disent encore une fois que c’est pour notre bien, pour notre sécurité, ces dégueulasses, ces rongeurs de liberté, je vous en fiche mon billet qu’ils rigolent sous cape, à se frotter les mains de leurs manigances ! Et vous, comme des moutons à l’abattoir, prêts à tendre le bras, à tendre le cou, à leur donner vos vies, vos tripes, vos âmes, pour un petit « bip » au scanner de leurs envies.
C’est ça, la Carte de Vaccination Européenne (CVE), qu’ils osent vous vendre avec des sourires pleins de promesses : l’ultime saloperie pour ficher les honnêtes gens, pour mieux les fliquer, les réduire à de simples tas de données, bons à être manipulés, contrôlés, comme des marionnettes aux ficelles bien tendues. Le cauchemar technocratique, le rêve humide des bureaucrates de Bruxelles, ces vampires qui n’ont jamais assez de sang, de pouvoir, pour se rassasier.
Et puis, ils vous l’ont déjà fait, souvenez‑vous du pass vaccinal ! La carotte et le bâton, la douce promesse et puis, quand vous avez bien gobé la couleuvre, voilà la matraque qui s’abat ! On commence par vous dire que c’est « volontaire », qu’on vous laisse « libre »... ah, la bonne blague ! Libre de choisir entre se soumettre ou crever à petit feu, libre de courber l’échine ou de se voir barré de la société, rejeté comme un lépreux pour quelques millilitres d’un produit que vous n’avez jamais demandé, mais qu’on vous impose à grands coups de décrets et de propagande.
Et ce n’est que le début, mes amis. Cette carte, c’est la première pièce d’un puzzle dont ils ont déjà tracé les contours. L’identité numérique, la monnaie numérique… Oui, tout ça va ensemble, tout ça fait partie du même sinistre plan pour mieux vous serrer le nœud coulant. Demain, c’est simple, vous aurez le choix : conformez‑vous, soyez de bons petits soldats, ou bien restez en marge, bannis du système, parias dans un monde où la désobéissance se paie au prix fort. C’est la démocrature qui se met en place, pas à pas, insidieusement, sous couvert de santé publique et de bien commun. Mais ouvrez les yeux, bon sang ! Ce n’est pas pour vous protéger, c’est pour vous contrôler, vous réduire à l’état de chiffres, de codes‑barres ambulants.
Alors non, mille fois non à cette abomination, cette infamie qui se cache sous le masque bienveillant de la science et de la sécurité. Ne vous laissez pas endormir par leurs mensonges, ne cédez pas à cette servitude volontaire qu’ils vous vendent comme un progrès. Le véritable progrès, c’est de rester libre, libre de penser, libre de choisir, libre de refuser cette camisole numérique qu’ils sont en train de tricoter pour nous tous.
Levez‑vous avant qu’il ne soit trop tard, brisez cette machine avant qu’elle ne vous broie, et surtout, ne leur faites jamais confiance. Ils n’ont que faire de votre santé, de votre bien-être ; tout ce qu’ils veulent, c’est vous tenir en laisse, vous marquer au fer rouge de leur technologie, pour que vous ne soyez plus jamais que des numéros dans leur base de données.
Et vous savez quoi ? Ils se fichent pas mal de savoir si ça vous plaît ou pas. Ce qui compte pour eux, c’est que vous obéissiez, sans poser de questions. Alors, posez‑les, ces questions, et ne vous laissez pas faire. Vous n’êtes pas des cobayes, des chiffres ou des codes QR. Vous êtes des êtres humains, avec des droits, et c’est maintenant qu’il faut les défendre, avant qu’ils ne soient effacés d’un simple clic sur un écran.
Ci‑dessous la pétition
Maître Isée
[Pétition] NON au passeport vaccinal permanent !
Les opinions exprimées dans cette tribune n’engagent que la responsabilité de son auteur et ne représentent pas nécessairement celles de BAM!
Chapô et illustration de BAM!