Le projet Euvabeco, qui transfère à l'OMS le contrôle du système de santé européen, pourrait entraîner la perte de nombreux emplois et remettre en question notre souveraineté nationale. L’Euvabeco représente une menace non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les politiciens et les fonctionnaires belges. Un million et demi de Belges risquent de perdre leur emploi, tandis que la dissolution de l'État belge semble inéluctable.
Chers politiciens européens, fédéraux, régionaux, provinciaux et communaux de toutes obédiences, chers fonctionnaires, chers travailleurs œuvrant pour la myriade d’ASBL et de sociétés parastatales… Vous représentez ensemble 30 % de la population active belge.
Le projet Euvabeco, évoqué par Senta Depuydt (Le passeport vaccinal européen dès septembre dans 5 pays pilote) et Frédéric Baldan (LE PASSE SANITAIRE MONDIAL DE L’ONU MAQUILLÉ EN CARTE DE VACCINATION DE L’UE) pourrait marquer la fin prochaine de vos fonctions, de votre travail et de vos revenus.
Mais pourquoi ?
Ursula von der Leyen a confié à l’OMS la gestion de tout le système de santé européen. Rappelons que parmi les principaux mécènes de l’OMS figurent non seulement l’altruiste très intéressé Bill Gates, mais aussi l’EFPIA (Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques).
Euvabeco, c’est le Big Brother au contrôle absolu, commençant par la santé mais finissant par enchaîner toute notre existence. Avec la fin de la souveraineté nationale, ce sont 1,5 million de Belges qui perdront irrémédiablement leur emploi, car l’État belge sera dissous dans ce grand magma. Chers politiciens, votre vote futur pourrait être celui qui vous tire une balle dans le pied, celui qui scie la branche sur laquelle vous êtes confortablement assis.
Une cascade infernale…
Le contrôle absolu, couplé à l’IA, condamnera également plusieurs métiers :
- Les comptables et fiscalistes, car la facturation sera centralisée et automatisée.
- Les avocats, car la justice sera rendue par l’IA sur la base de la jurisprudence.
- Les huissiers de justice, car les saisies seront instantanées.
- Les comédiens et artistes, déjà phagocytés par l’IA.
- Les banquiers, car tout sera mécanisé.
- …
Que faire alors ?
Soyons clairs. Nous sommes pris dans un nœud coulant qui se resserre lentement autour de nous. La lutte pour empêcher ce piège se déroule maintenant. Il est évident que la petite minorité qui cherche à prendre les commandes de notre monde est confiante. Un seul grain de sable pourrait enrayer cette machine: la divulgation de la liste Epstein.
C’est peut-être le seul élément capable de troubler leur quiétude. Pour le reste, soyons réalistes, il serait souhaitable que l’État profond nous accorde un no man’s land, une île où les volontaires éclairés pourraient continuer à vivre en toute liberté.
Sinon, il faut espérer un réveil de conscience politique de ceux que nous avons mis en place… À la fois juges et parties de ce système.
Pietje Schramouille
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Chapô et illustration de BAM!