39/40 - UNE ÉPOQUE INIMAGINABLE - QUELLES RESPONSABILITÉS ?

Expiré
Tribune
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Conclusion. Une époque inimaginable

Si on retire du nombre de décès «étiquetés Covid», ceux attribués au Rivotril, ceux des EHPAD alors qu’ils n’avaient même pas été testés positifs, ceux dont le certificat de décès mentionne Covid alors qu’ils ne l’ont jamais rencontré, ceux dont le certificat de décès mentionne Covid mais qui ne sont pas morts de ça, etc.. Si on prend en compte tout ce qui est décrit dans ce document… Bien sûr il reste des morts, beaucoup, beaucoup trop, toujours trop, et j’ai un profond respect et une immense compassion pour celles et ceux qui ont perdu un proche dans cette histoire. Mais on est objectivement bien loin du cataclysme. Nous n’avons pas des tombereaux de morts ni des buchers dans les rues.

Sans compter tous ceux qu’on aurait peut-être pu soigner avec des tests, une prise en charge rapide, une meilleure stratégie de traitements, de meilleurs hôpitaux... Car après tout, que fait-on quand est malade ? On se soigne...
Ne serions-nous pas en plein délire collectif, orchestré et/ou entretenu, volontairement ou pas, par ceux qui nous gouvernent et les médias complices malgré eux, qui n’arrivent pas à redescendre de l’hystérie ambiante ni à prendre du recul...? enfermés dans un engrenage...
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Et si… le nombre de morts réellement attribuables à la Covid était (largement) surestimé… Et si… le confinement ne servait à rien ou presque... Et si… le port du masque permanent et généralisé partout était contre-productif ? Tant que nous n’aurons pas de preuve scientifique solide et indépendante du contraire, je ne pourrai m’empêcher de me dire… « et si »…
Pourquoi ne laisse-t-on pas aux gens le droit de prendre le risque raisonnable d’être contaminé comme nous l’avons toujours fait ? A-t-on jamais arrêté le pays pour un pic épidémique de grippe, même très sévère ? A-t-on le droit de priver une personne en fin de vie ou très âgée d’un dernier voyage, d’un dernier moment avec les siens si c’est sa volonté ? Où est passée notre humanité ?
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On connait désormais la maladie. Nous n’avons pas de baguette magique, mais on a des moyens de la prendre en charge. On ne pourra pas éviter des complications et des formes graves dans certains cas, comme pour de nombreuses maladies, on ne pourra jamais empêcher toutes les morts, mais une grande partie des mesures prises semblent ne plus avoir de sens…
Oui, oui, oui la Covid-19 tue, on l’a compris et personne ne le nie. Mais si on nous avait dit il y a un an que nous devrions signer nous-même un papier pour sortir de chez nous, qu’on n’aurait pas le droit d’acheter ce qu’on veut, qu’on nous obligerait à faire des trucs insensés, allant jusqu’à nous détruire nous-mêmes, pour une maladie qui tuerait entre 0,5 et 1 % de ceux qui sont infectés (plus de 99 % des malades n’en meurent pas), 0,08 % de la population totale, bien moins que bien d’autres causes de mortalité… on aurait dit «c’est impossible», on aurait crié à la dictature…
Bien sûr que cette maladie existe, comme tant d’autres, bien sûr qu’il n’est pas drôle d’être malade du Covid comme d’aucune autre maladie, bien sûr qu’on peut en mourir, et des gens meurent tous les jours. Bien sûr qu’une personne qui meurt c’est toujours un drame, quel que soit son âge… Mais pourquoi accorderait-on plus d’importance aux gens qui meurent de la Covid qu’aux autres morts ? Pourquoi arrête-t-on la rotation de la terre pour la Covid et pas pour le reste ? Pour reprendre le Pr Raoult : «Que va-t-on suggérer, que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? […] Vous êtes devenus tous cinglés».
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Il ne s’agit pas de minimiser, mais de relativiser. C’est une maladie, qui peut être grave, mais arrêtons de terroriser la planète et de la réduire en miettes…
Tout ceci est presque irrationnel…
Dans un monde où voir des amis est presque devenu un délit et où le bonheur et la joie ne sont malheureusement pas encore disponibles en Click & Collect…, il est urgent de prendre du recul, d’avoir une vision globale et honnête, d’éteindre sa télé, de s’informer…
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Comment est-il possible qu’une grande partie de l’Europe et du monde se soit lancée dans une course aux restrictions et aux atteintes aux libertés fondamentales ?
Il fallait faire quelque chose, oui, il faut faire quelque chose, mais pas n’importe quoi…
Et je vais vous faire une confidence, les amis (si vous avez lu ce document jusqu’ici, je me permets de vous nommer ainsi), si un virus vraiment méchant débarque, il semble établi que nous ne sommes pas du tout prêts à y faire face… Saura-t-on au moins retenir quelques leçons de cette folie ? Avec toute la Data, toutes les données en tous genres qui ont été récoltées ces derniers mois, saura-t-on en tirer des conclusions constructives (il serait étonnant qu’on ne puisse rien en faire, le documentaire «Derrière nos écrans de fumée» nous en montre quelques applications). Ce n’est même pas certain, Douste-Blazy ou Raoult par exemple avaient prévu ce qui pourrait arriver, et cela ne nous a pas servi.
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Conclusion. Pourquoi ? Quelles responsabilités ?

Pourquoi jouer sur les peurs et les émotions ? Pourquoi a-t-on utilisé des statistiques biaisées («cas»/«malades», «morts du»/«morts avec», etc.) ? Pourquoi n’a-t-on pas en urgence augmenté la capacité de nos hôpitaux ? Pourquoi n’explore-t-on pas plus assidument la piste des traitements ? Pourquoi veut-on vacciner tout le monde à tout prix et très vite ?
Ce nouveau virus est arrivé. On n’empêche pas un virus de circuler. Dès lors des gens vont mourir, soit du virus, soit des conséquences des mesures mises en place. Aujourd’hui j’ai l’impression que nous sommes au volant d’une voiture, qu’on a devant nous une personne qui traverse, et sur le trottoir un groupe de 25 personnes. Et que le choix qui est fait, au lieu de laisser la voiture avancer et de tenter de limiter l’impact (en freinant, en klaxonnant...), est celui de percuter violemment le groupe de 25 personnes.
Pourquoi ?
Je suis un simple citoyen, et j’ai réussi à compiler un certain nombre de données dont certaines sont avérées, indiscutables (d’autres sont des questions, des réflexions, des hypothèses...). Ceux qui nous gouvernent n’y ont-ils pas accès ? Ces données n’arrivent-elles pas jusque dans leur bunker ? Comment se fait-il qu’ils n’en tiennent pas compte ?
Pourquoi ?
Pourquoi tant d’acharnement sur l’éminent Pr Raoult, et rien pour le scandaleux Remdesivir ? Pourquoi pas de poursuites dans l’affaire du Lancet ? Pourquoi les contradictions sur les masques ? Pourquoi des tests si longs à venir ? Pourquoi autoriser le Rivotril dans les EHPAD ? Pourquoi rien ou pas grand-chose pour les hôpitaux entre mars et octobre ? Pourquoi continue-t-on à fermer des lits ? Pourquoi confondre «cas» et «malades» ? Pourquoi confondre «morts de la Covid» et «morts avec la Covid» ? Pourquoi des cycles de PCR élevés ? Pourquoi cette rhétorique guerrière et ces chiffres «ésotériques» alarmants ? ...
Pourquoi ?
Les personnes qui nous dirigent sont-elles incompétentes ? Manipulées ? Manipulatrices ? Trop déconnectées du terrain ? Prises dans une spirale de l’immédiateté ? Des liens et/ou conflits d’intérêts politico-économiques sont-ils en jeu ? S’agit-il d’opportunismes à court terme d’un capitalisme totalitaire aux aguets ? Un peu de tout cela à la fois ? Rien de tout cela ? Autre chose encore ?
Est-ce parce que le pouvoir de décision a été concentré (par eux-même) entre les mains de quelques individus qui n’ont pas les connaissances scientifiques nécessaires et qui s’appuient sur des courbes discutables et des projections fantaisistes plutôt que sur l’avis de professionnels de santé et de données observées sur le terrain, qu’à force de ne pas savoir quoi faire, ils risquent d’en arriver à faire n’importe quoi ? A l’inverse, peut-on envisager que tout ce carnage soit calculé et volontaire ? Non, je ne peux pas me résoudre à penser cela... Et je ne peux imaginer non plus que tout cela ne se résume qu’à de l’incompétence, à un simple manque de lucidité et de discernement.
Alors pourquoi ?
Dans tout ça… beaucoup d’incohérences, beaucoup d’erreurs graves, beaucoup de décisions prises sur des chiffres erronés ou sans aucun fondement scientifique, beaucoup trop de passions aveugles et pas assez de débat constructif, trop peu de place pour l’enquête journalistique (la vraie) et la preuve scientifique…
Une seule certitude, tout ceci n’est pas clair et manque d’honnêteté…
Au vu de ces éléments, les responsables qui ont pris les décisions ont menti sur certains points et potentiellement commis des erreurs.
L’erreur est humaine comme on dit, et la situation «presque» inédite (n’oublions tout de même pas l’époque du H1N1). Bien que graves, ces erreurs peuvent faire l’objet d’une reconnaissance, d’un mea culpa et de corrections urgentes. Il n’est jamais trop tard. Mais rien ne vient.
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Le mensonge quant à lui, et il est clairement établi sur certains points, n’est pas acceptable. Qui a menti, sur quels points, pour quelles raisons, pour servir quels intérêts, avec quelles conséquences ?
Nos responsables politiques sont élus et payés par le peuple pour le servir, non pas pour l’asservir. Ils ont des comptes à nous rendre, pas uniquement des mesures à nous imposer.
Si des personnes ont commis des fautes très graves, alors plus elles tarderont à les reconnaître, plus il sera difficile de leur pardonner. N’oublions pas non plus que ceux qui cautionnent, volontairement ou par leur inaction, sont complices.
Fin 2020, les Commissions d’Enquête du Sénat et du Parlement, dont les rapports sont imminents, nous apporteront peut-être des éléments de réponse. Malheureusement, il n’en est pas ressorti grand-chose de suffisamment constructif semble-t-il même si des défaillances sont pointées et l’une des deux a déjà été dissoute début 2021.
[Source(s) liée(s) : 511 + 521 + 1087]
Certains vont encore plus loin, et portent les plus graves accusations, comme Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, qui a déposé une plainte au pénal pour «génocide du peuple français» contre le président de la République, ses ministres et son administration. Le chemin est encore long pour savoir si le temps donnera raison à son accusation.
[Source(s) liée(s) : 515]
Peut-on enfin trouver quelques bribes d’explication dans ces quelques lignes du poète Thomas Stearns Eliot ? : «La moitié du mal que l’on fait en ce monde / Est dû aux gens qui veulent se sentir importants. / Ils ne veulent pas faire le mal - mais le mal leur est indifférent. / Ou bien ils ne le voient pas, ou bien ils le justifient, / Parce qu’ils sont absorbés dans un interminable effort / Pour penser du bien d’eux-mêmes».

Rendez-vous demain pour la suite… et FIN !

 

Par Sébastien . Citoyen . Humain


Retrouvez TOUS les épisodes ici :
UNE AUTRE VISION DE LA COVID

Une autre vision de la Covid . Version initiale le 09 décembre 2020. Mis à jour et augmenté régulièrement depuis, et jusqu’à ce jour.

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Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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