Comment la crise du Covid a rendu nos sociétés religieuses voire sectaires, sans qu’on s’en rende compte
Comme beaucoup de gens de ma génération sous nos latitudes, j'ai été éduqué dans une famille, un esprit, une culture religieuse chrétienne et plus précisément catholique. Je m'en suis écarté de plus en plus au fil du temps, dès l'adolescence, pour devenir athée. J'en ai, malgré tout, gardé une grande fascination et un intérêt constant pour le phénomène religieux, sous quelque forme qu'il soit. Cette éducation, cette manière de voir le monde m'a permis de repérer les symptômes du religieux, souvent cachés mais réels, qui agissent sournoisement dans notre société contemporaine, aujourd’hui pourtant sécularisée.
Depuis plus d’un an, j’écoute et je suis des directives qui pourtant ont prôné tout et leur contraire.
J’enfoncerai ici quelques portes ouvertes mais je pense qu’il est important de se souvenir que le port du masque est passé de superflu à essentiel, nous avons dû rester enfermés chez nous, nous avons pu ressortir, voir nos amis par groupe de 10, 4, 2…
À l'instar des BB (black bloc) en France, groupes anonymes de véritables casseurs relativement bien identifiés par tous les services de police, un petit groupe de bras cassés que la presse officielle s'empresse de nommer "casseurs" pour satisfaire l'opinion publique, auraient à eux seuls justifié l'opération policière disproportionnée de ce samedi 1er mai.
Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire Et qu’en ces temps de violence et de conflit L’art est essentiel à nos vies.
Certains moyens inédits, jamais utilisés dans l’Histoire, sans fondement scientifique, jamais intégrés à aucun «plan pandémie» et dont peu ont fait l’objet d’études sérieuses pouvant leur conférer une réelle efficacité, ont été déployés, en France et dans le Monde, presque à l’unisson.