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C’est maintenant devenu une tradition, Yves Van Laethem descend par la cheminée et distribue ses cadeaux. Après le trône au fond du jardin, cette année c’est le « Booster » sous le sapin. Mais comme beaucoup de vaccinés ont été infectés dernièrement, le cadeau ne risque-t-il pas de tomber à l’eau ? Il n’en est rien, Père Laethem veille au grain et nous sort de son chapeau une étude qui prouverait que rien ne remplace son beau cadeau… au risque de contredire ses camarades de plateaux.

BAM!-DETOX*

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On a souvent entendu depuis le début de cette crise que “la peur du covid a fait que les gens ne se sont pas fait suivre par leur médecin, et que leur état s’en est aggravé“. Même la chaîne publique allemande ARD en parle aujourd‘hui, après un an et demi de branle-bas de combat pandémique.

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The Lancet
“Par Günter Kampf“

“Aux États-Unis et en Allemagne (ainsi qu’en Belgique –ndlr-), des responsables de haut niveau ont utilisé l’expression « pandémie de non-vaccinés », suggérant que les personnes qui ont été vaccinées ne sont pas pertinentes dans l'épidémiologie du COVID-19.
L'utilisation de cette expression par les autorités aurait pu encourager un scientifique à affirmer que « les non-vaccinés menacent les vaccinés contre le COVID-19 ». Mais ce point de vue est beaucoup trop simpliste.“

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L’ATIH, l’agence technique de l’information sur l’hospitalisation en France, a publié une synthèse « des prises en charges hospitalières de la COVID-19 en 2020 » [1]. Des chiffres détonants au regard du narratif. Sans remettre en question que des hôpitaux aient été surchargés à certaines périodes (pics épidémiques, concentrations géographiques, hospitalisations plus longues), cette analyse remet en perspective le covid par rapport aux autres pathologies et invite à regarder le phénomène sous un angle plus rationnel, au-delà du prisme de la peur.

© SMT

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L’efficacité vaccinale, avec la sûreté des vaccins, est le fondement de la doctrine de la vaccination de masse pour gérer la crise du covid. Or, les statistiques épidémiologiques allemandes et britanniques nous apprennent qu’après analyse, l’efficacité vaccinale diminue fortement avec le temps, notamment chez les groupes à risque. Faut-il dès lors persister dans cette voie en proposant des injections de rappel ?

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