L'amour de la vie
ExpiréAujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers
Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.
Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers
Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.
En novembre 2020, on comptabilise 1 300 000 morts de la Covid dans le monde (sous réserve d’un comptage fiable, comme on vient de le voir). C’est terrible, c’est indiscutable. Le chiffre est impressionnant. On a décidé que la Terre devait donc s’arrêter de tourner… et pourtant…
Un décompte généreux
Rappelons qu’on peut mourir de la Covid, tout comme on peut mourir d’une pneumonie ou d’une grippe (même si c’est plus rare), mais que l’immense majorité des personnes qui croisent le virus ne développent pas de symptômes ou contractent la maladie et guérissent rapidement.
La Covid est une réalité. Mais quel est le risque réel ? Les mesures prises sont-elles justifiées ? Beaucoup d'informations ne circulent pas. Pour tenter une autre histoire de la Covid, j’ai compilé plus de 2000 ressources afin de déterminer des certitudes, émettre des hypothèses, poser des questions.... Cette démarche s'est soldée par la production d'une publication de 80 pages.
BAM vous en propose la lecture sous forme d'épisodes thématiques quotidiens (du mercredi au dimanche).
"Monsieur le ministre, les infirmier/e/s de soins intensifs et d'urgence sont révoltés et lassés de ne pas être entendu! L'appel de 100 infirmiers-chefs dans 40 hôpitaux."
Depuis plus d’un an, j’écoute et je suis des directives qui pourtant ont prôné tout et leur contraire.
J’enfoncerai ici quelques portes ouvertes mais je pense qu’il est important de se souvenir que le port du masque est passé de superflu à essentiel, nous avons dû rester enfermés chez nous, nous avons pu ressortir, voir nos amis par groupe de 10, 4, 2…
À l'instar des BB (black bloc) en France, groupes anonymes de véritables casseurs relativement bien identifiés par tous les services de police, un petit groupe de bras cassés que la presse officielle s'empresse de nommer "casseurs" pour satisfaire l'opinion publique, auraient à eux seuls justifié l'opération policière disproportionnée de ce samedi 1er mai.
Je suis resté silencieux un long moment, comme une nécessité absolue. J’avais besoin de «m’éloigner» de cette pensée unique qui nous est injectée par doses infimes, si infimes que rares sont ceux qui refusent la deuxième, la troisième, la dixième dose.
A l’occasion de la conférence de presse de ce vendredi 23 avril, comme lors des conférences de presse précédentes, Monsieur De Croo s’est efforcé de nous vendre sa politique vaccinale pour de la «liberté». C’est indigne.
Dans quel «état» sommes-nous?
Si je mets volontairement des guillemets autour du mot «état», c'est pour en souligner le double sens, émotionnel et politique.