Conclusion. Une époque inimaginable
Si on retire du nombre de décès «étiquetés Covid», ceux attribués au Rivotril, ceux des EHPAD alors qu’ils n’avaient même pas été testés positifs, ceux dont le certificat de décès mentionne Covid alors qu’ils ne l’ont jamais rencontré, ceux dont le certificat de décès mentionne Covid mais qui ne sont pas morts de ça, etc.. Si on prend en compte tout ce qui est décrit dans ce document… Bien sûr il reste des morts, beaucoup, beaucoup trop, toujours trop, et j’ai un profond respect et une immense compassion pour celles et ceux qui ont perdu un proche dans cette histoire. Mais on est objectivement bien loin du cataclysme. Nous n’avons pas des tombereaux de morts ni des buchers dans les rues.